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Un été catastrophique pour Marc Bergevin


PUBLICATION
Carl Vaillancourt
1 mars 2022  (21h03)
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Le travail de directeur général d'une équipe de hockey professionnel dans une métropole comme Montréal peut être un travail demandant. Marc Bergevin l'a expérimenté.

Quelques jours après avoir vu les siens se rendre en finale de la Coupe Stanley, il a signé plusieurs joueurs sur le marché des joueurs autonomes durant la saison morte. Il s'est avéré que ceux-ci n'ont pas été l'ombre d'eux-mêmes en 2021-2022. Pour certains journalistes, les acquisitions de Marc Bergevin passent mal aujourd'hui.
«  La dernière saison morte a été désastreuse pour Marc Bergevin. Ça été très mauvais! » - Mathias Brunet, au 91.9 Sports

D'abord, l'attaquant Mike Hoffman a été signé par Marc Bergevin. Franc-tireur et capable de produire sur l'avantage numérique, le numéro 68 des Canadiens de Montréal n'est pas l'ombre de lui-même cette saison.
Auteur de 17 points, dont neuf buts, en 38 parties de saison régulière, Mike Hoffman est bien loin de ses chiffres en Floride. Lors de ces deux saisons avec les Panthers, Hoffman avait inscrit 36 et 29 buts. Avec un salaire annuel de 4,5 millions de dollars, le numéro 68 pourrait faire saliver quelques équipes qui cherchent une façon de marquer des buts.
L'une des pires signatures de la dernière saison estivale revient à Marc Bergevin. La signature du défenseur québécois David Savard est très coûteuse. Avec un contrat de quatre ans d'une valeur de 14 M$, David Savard a inscrit un but et neuf points en 42 parties.
Il a acquis Christian Dvorak pour remplacer Phillip Danault. L'ancien joueur des Coyotes de l'Arizona n'a pas donné le rendement espéré. Marc Bergevin a également perdu son premier choix de 2018 en Jesperi Kotkaniemi, lui qui ne voulait pas accepter de payer l'offre hostile de son homologue des Hurricanes de la Caroline.

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