Quand Christian Dvorak a été acquis en septembre, à la suite du départ de Jesperi Kotkaniemi, beaucoup de personnes (moi y compris), ont vu en lui le dauphin de Phillip Danault, fraîchement envolé vers la Californie.
Au début, son adaptation a été clairement difficile avec l'équipe, mais Guy Boucher a amené une autre explication.
En parlant de reconstruction potentielle du Canadien et du rôle des joueurs, Mario Langlois a demandé à l'analyste ce qu'il ferait avec Christian Dvorak. Et Boucher le garderait, puisque des joueurs comme lui, c'est difficile à trouver.
Il le voit comme un troisième centre dans une excellente équipe, mais il ne peut pas remplir les patins de Danault pour une raison.
« C'est pas les mêmes atouts, c'est ça l'affaire. Danault lui, il peut jouer contre une première ligne, lui [Dvorak] il peut pas. Ce n'est pas une question de première ou deuxième ligne, c'est une question de capacités individuelles. Lui, il n'a pas la vitesse pour jouer contre les meilleurs joueurs, parce que les meilleurs joueurs, c'est rare qu'ils sont slow. » - Guy Boucher
Bref, avec des renforts au centre et tout le monde dans la bonne chaise, un joueur comme Christian Dvorak serait parfaitement à sa place et les gens apprécieraient son apport autrement.
La bonne nouvelle dans tout cela, c'est qu'avant qu'il se blesse, Dvorak a repris du poil de la bête. Quand il reviendra, espérons qu'il va continuer sur cette lancée!
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