Alors que le navire du Canadien traverse toute une tempête, Marc Bergevin a accordé une entrevue à Pierre LeBrun aujourd'hui.
Probablement avant qu'il ne sache qu'il a attrapé la COVID-19.
Ce qu'il y a à retenir dans ses propos?
Tout d'abord, il n'est pas du tout content de la tournure des événements pour son CH.
«Nous ne sommes pas là. C'est l'histoire de notre équipe cette année. Nous n'étions pas impliqués dès le premier jour du camp. Et ça a traîné jusqu'au début de la saison. Et nous en payons le prix. C'est dur à regarder quand l'équipe, qui a été si bonne pendant deux mois et demi en séries, tombe à plat dès le début de la saison. C'est difficile à comprendre.» - Marc Bergevin
Et non, il ne s'étend pas sur ses solutions pour faire tourner le vent. Aucun DG ne le ferait de toute façon, à moins d'un changement de cap majeur dans la stratégie de l'équipe.
Chose certaine, pas question pour le DG que l'entraineur paie la note pour tout ça!
«Pas à ce stade, mais encore une fois, si vous regardez il y a quelques mois, Dom a emmené à peu près la même équipe en finale de la Coupe Stanley et il n'est pas devenu un mauvais entraîneur en trois mois. Il ne s'agit pas seulement d'une personne. Ce n'est pas seulement un problème.» - Marc Bergevin
Et finalement, rien de neuf sous le soleil pour son futur avec l'équipe.
«C'est comme d'habitude, Geoff et moi avons une bonne relation. Nous communiquons presque tous les jours, j'ai toujours été franc et transparent avec lui. Et cela ne changera pas. Cela fait partie du business. Je suis d'accord avec ça. C'est ce que c'est. Mais cela n'affecte pas mes activités quotidiennes au sein des Canadiens de Montréal.» - Marc Bergevin
Bref, rien de bien neuf de la part du DG, outre qu'il ne va pas congédier Ducharme et ses adjoints dans un geste de panique.
Mais tout ça pourrait changer rapidement si Geoff Molson décide que c'en est assez...
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