Alors, est-ce que le Canadien se dirige vers une reconstruction en profondeur ou un reset?
À la lumière des déclarations depuis que Kent Hughes est en poste, Brendan Kelly est d'avis que ce sera davantage la deuxième option.
Mais oui, il y aura des vétérans qui vont quitter et Jeff Petry devrait être l'un d'eux.
D'ailleurs, dans sa chronique What the Puck, Kelly a salué la façon que le DG a mené ce dossier, surtout quand il en a parlé publiquement lors de son entrevue avec La Presse.
Et il y va d'une suggestion pour la suite.
« Le message est le suivant : Je suis le patron et je ne tolérerai pas que tu ne donnes que 10% au lieu de 110%. Le fait est que Petry, qui a une clause de non-mouvement limitée, est hautement échangeable et est plus susceptible de rapporter à l'équipe un choix de premier tour. J'irais plus loin en tant que DG. Je lui suggérerais poliment de rejoindre sa femme et ses enfants au Michigan et j'attendrais que le téléphone sonne pour lui dire où il va. » - Brendan Kelly
Une solution radicale? Un peu oui, mais si Hughes est confiant de pouvoir échanger Petry très bientôt... pourquoi pas?
Après tout, les différents insiders rappellent régulièrement que dans la LNH, les équipes aiment encore Petry et elles considèrent que cette saison est un accident de parcours.
Mais la question, à laquelle je n'ai pas la réponse : si le CH fait cela et que Petry reste un mois à la maison avant d'être échangé, comment ce sera perçu par les joueurs un peu partout? Est-ce que ça risque de nuire à la réputation de l'équipe?
Et si jamais Petry n'est pas échangé avant le 21 mars, on fait quoi avec lui ensuite?
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