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Voici pourquoi le rachat d'un contrat est une option de dernier recours


PUBLICATION
Christian Matte
2 mai 2022  (7h55)
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Dans sa chronique de vendredi, Mathias Brunet a abordé, parmi les chantiers à mener par le Canadien, la possibilité que Kent Hughes rachète un contrat, en prenant exemple avec celui de Brendan Gallagher.

Il est vrai qu'un rachat de contrat peut être une option pour le Canadien, mais dans le cas de Gallagher, même s'il y a une économie à faire, l'impact sur la masse salariale se ferait ressentir pendant dix ans.
Cependant, il a reconnu lui-même au 91.9 Sports que ce serait surprenant que le Canadien utilise cette voie.
« J'ai l'impression, après avoir mijoté ça aujourd'hui, après avoir jasé et après avoir eu du feedback, j'ai l'impression qu'un rachat de contrat ne sera pas nécessairement une priorité, compte tenu du fait que le Canadien ne fera pas les séries l'an prochain. Tu ne gaspilles pas un rachat de contrat pour rien l'an prochain. » - Mathias Brunet

Martin Lemay lui a rappelé que Kent Hughes ne semble pas enchanté à l'idée de payer des joueurs qui ne font plus partie de l'alignement, lui qui a écarté l'option de conserver une partie du salaire de Jeff Petry pour faciliter une transaction.
« Avec les objectifs modestes pour l'an prochain, pour faire de la place aux jeunes, t'as pas besoin tant que ça de libérer de la masse salariale, parce que tu ne feras pas des grosses embauches. Si tu embauches, c'est pour combler des trous. » - Mathias Brunet

Vu comme ça, c'est tout à fait logique.
Dans le fond, ce qu'il faut retenir, c'est que le rachat d'un contrat semble être vu, par Kent Hughes, comme une option de dernier recours. Il préfère tenter de se débarrasser d'un contrat au complet afin de profiter de l'économie complète sur le salaire.

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