Dans tout ce qui touche le hockey, que ce soit au niveau des blessures, des décisions administratives ou autres, les faits sont rarement dévoilés à 100% et il y a toujours place à interprétation.
Un témoignage de Zachary Bolduc, espoir des Blues de St-Louis et attaquant pour les Remparts de Québec, a pris une tournure inattendue sur les réseaux sociaux.
Peu de temps après avoir été retranché d'Équipe Canada junior, Bolduc a donné ses impressions, qui ont été médiatisées par le journaliste Mikaël Lalancette. Selon Zachary, les Québécois francophones partent avec une ou deux prises lorsqu'il est temps de faire les sélections et représenter le pays.
Cet article a créé une vague qui n'est pas près de s'arrêter. J-F Plante, du journal Le Droit, s'est opposé aux propos de Bolduc, car selon lui, un des dirigeants d'Équipe Canada junior est un francophile et cette caractéristique ne freine pas les sélections.
Mikaël Lalancette a donc répliqué en disant que Mario Lemieux a été ignoré parce qu'il n'était pas assez bon défensivement et Marc-Édouard Vlasic parce qu'il n'était pas assez rapide. Que tous les deux jouaient dans la LNH la saison suivante et ont connu de belles carrières.
C'est alors que Stéphane Leroux s'en mêle, en spécifiant que Lemieux n'a pas été retranché, mais bien qu'il a refusé d'y aller à 18 ans, car il n'avait pas aimé l'expérience.
Lalancette a répondu une fois de plus, en disant que Lemieux a refusé d'y aller par fierté parce qu'il s'était fait dire de s'améliorer défensivement, sans quoi il serait retranché.
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