« Au premier rang, il y a la pression de sélectionner
Shane Wright. Il y avait la pression aussi de prendre Alexis Lafrenière. À un moment donné, il y a des gars qu'on attend depuis 2-3 ans, et les équipes gèlent. "
Damned if you do, damned if you don't." Si tu ne prends pas Shane Wright et que le gars que tu choisis à sa place n'est pas aussi bon, tu perds ton
job.
« Si Shane Wright n'est pas aussi bon que prévu, tu peux toujours dire : "Bah tout le monde l'aurait pris!" Imagine-toi si les Rangers avaient réclamé Stützle et que Lafrenière avait 38 buts, ç'aurait été matière à congédiement. » - Simon Boisvert