« Imaginons que pour les 37 matchs qui restent, il en gagne cinq, qu'il coach terriblement mal, que les joueurs ne se développent pas bien, leur confiance atteint le fond du baril, que leur valeur diminue de jour en jour et que la qualité de leur jeu se détériore. Si c'est le pire qui peut arriver, sans un changement d'entraineur, c'était déjà comme ça! » - Tony Marinaro
Il a raison... Rendu là, il n'y a rien à perdre. Mais sinon, les jeunes peuvent apprendre au contact de St-Louis ou l'avantage numérique peut s'améliorer, entre autres.
Pour Marinaro, si St-Louis fait comme l'ancien joueur de soccer Pep Guardiola, qui après une fructueuse carrière, a eu rapidement du succès à diriger des équipes de soccer de renom, ce sera une bonne chose.
Bref, le message ici c'est de laisser la chance au coureur et il a raison. Surtout qu'hier, on a vu des améliorations dans certains aspects au fil du match.